I. Who are you ?!
© Chesterfield | nom(s) ;O’Connor, qui veut dire « ami des chiens » prénom(s) ;Faolan, dérivé celtique voulant dire « loup ». Coïncidence? surnom(s) ;Fen âge ;19 ans date & Lieu de Naissance ;18 mars 1991, Cork - Irlande nationalité & Origine ;Irlandais espèce ;loup-garou |
Défauts & Qualités
* Charmeur ; Drôle ; Rusé
* Renfermé ; Manipulateur ; Egoïste
II. Everything's sweet about me
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story time ; « FAOLAN!!!!! Cours! »
Le jeune homme se réveilla en sursaut. La sueur couvrait son front, il tremblait de tous ses membres. Ses yeux d’un noir profond étaient empreints d’une terreur sans nom.
Il ouvrit la fenêtre et sauta. Ses pas ne firent pas le moindre bruit à l’atterrissage. Quelques secondes et un déchirement plus tard, un énorme loup se tenait à la place de Faolan O’Connor. Le poil aussi noir que la nuit, et les prunelles soudain grises et furieuses, l’animal s’enfuit dans la nuit.
Il avait encore une fois fait le cauchemar.
Il avait cinq ans. Sa mère était près de lui. Il lisait un livre, elle cousait son pantalon qu’il avait déchiré en tombant près des rochers. Son père était parti.
Le Seigneur des Anneaux le captivait. Il aimait lire, et ce genre de lecture, compliquée et ardue, était pour lui un défi. Surtout à cinq ans. Dix ans plus tard, lorsqu’il relira le livre, cette fois seul dans sa chambre, il y trouvera le même plaisir et la même évasion.
Et soudain, tout avait basculé. Deux hommes étaient entrés dans la maison. Ils avaient hurlé des mots en français que ni Fen, ni sa mère n’avait compris. Des cagoules masquaient leurs visages. Ils avaient tirés. Trois fois. Deux balles avaient touché madame O’Connor. La troisième était partie se loger dans l’épaule de Faolan.
Les deux hommes, passant devant le cadavre de la mère et le corps inanimé du fils, avaient volé un maximum de chose. Lorsque monsieur O’Connor était arrivé, il a vu le drame… et tout a basculé.
Quelques jours plus tard, se rappela Faolan, ils avaient déménagé. En Amérique. Abandonnant l’Irlande, leur pays natal.
Nolan O’Connor, le père de Fen, mourut trois semaines plus tard.
Emmené alors de familles d’accueil en familles d’accueil, Faolan ne supporta pas bien longtemps cette façon de vivre. Devenu plus violent et plus désagréable de jour en jour, il était taciturne et rancunier. Ils finirent par le placer dans un centre de délinquants.
Le jour de ses quinze ans, sa colère explosa. Il devint un loup pour la première fois, près de Seattle. Il avait perdu le contrôle. Il tua deux personnes cette nuit-là, et s’enfuit.
Aujourd’hui, Fen habitait à Forks. Il avait pris un petit appartement. Seul. Les cauchemars le hantaient chaque nuit, il travaillait dur pour remplacer les vêtements qu’il déchirait chaque nuit, notamment les caleçons, mais il vivait convenablement.
Seul
Désespéré
Malheureux…
physique ;Faolan est grand et fort, comme son père. Sa musculature s’est développée de façon impressionnante depuis ses quinze ans. Il semble qu’il puisse briser un chêne entre ses bras aux veines saillantes. Un visage avare de sourire, qui ne laisse parler que ses yeux à la couleur indéfinissable, virant du gris au noir selon son humeur. Ses cheveux, châtains, sont suffisamment long pour tomber en mèches désordonnées devant ses yeux, et il n’a pas le courage d’aller les couper. Un jour, peut-être, le fera-t-il. Son nez est un peu épaté, mais ne gâche pas la dure beauté qu’il possède. Il a quatre cicatrices notables. La première, qu’il a eu à cinq ans, est le trou rond et blanc sur sa peau mate, au niveau de l’épaule gauche. La deuxième est une longue ligne pâle sur la paume droite de sa main, quand il a saisi un couteau par la lame, à neuf ans, juste pour prouver qu’il pouvait le faire. La troisième est une longue balafre sur sa cuisse gauche, lors d’une bagarre au compas dans la cour du collège. Et la dernière est une petite marque que l’on voit rarement, au dessus de l’arcade sourcilière droite, souvenir d’une chute particulièrement douloureuse et d’un clou mal placé.
Il porte plus particulièrement des converses noires aux pieds, des jeans bleus déchirés de partout, et des chemise que l’on peut qualifier « de cowboy ».
caractère ;Faolan est un garçon énergique, presque hyperactif, qui doit toujours au minimum tripoter un objet pour se sentir à l’aise. Renfermé sur lui-même, il ne s’ouvre pas facilement aux autres bien qu’il ait de l’humour et une tendance à vouloir protéger les plus faibles. Mais il est individualiste, personnel, et surtout égoïste et manipulateur. Inflexible, il est très dur de lui faire changer d’avis sur quelque chose. Très rusé, Faolan, bien que costaud, ne règle pas ses problèmes par la bagarre (même si cela ne le dérange pas) mais surtout en jouant des mauvais tour. Pas dans le genre malicieux, plutôt… vilains et sadiques. Mais il a au moins cela pour lui: il n’est pas lâche. Il affronte les problèmes les yeux dans les yeux. Étant un amoureux de la langue, il parle couramment l’anglais, le français, l’espagnol et l’italien. Il aime beaucoup utiliser les mots pour faire du mal aux gens. Indépendant, il n’a besoin de rien ni de personne pour vivre. Il déteste d’ailleurs l’aide extérieure.
Plutôt froid avec les personnes qu’il ne connaît pas, en général, la première opinion que l’on a de Fen, c’est un être méchant, sadique et plein de hargne. Mais sous sa carapace, l’irlandais à un cœur. Il suffit juste de bien creuser….
III.This is real, this is me
avatar; Jared Padalecki
pseudo et/ou Prénom; Mister Parfait ;)
âge; Ah, la la…
comment avez-vous connu le forum; Schizophrénie avec Gareth
votre avis/Qu'est-ce qui vous a intéressé sur le fo'; Le design… Leah… ^^
niveau RP; 100/100 … Et réduisez de moitié.
exemple de post'; - Spoiler:
Faolan fixa le ciel d’un œil noir. Ses prunelles l’étaient, d’ailleurs. Noires. Brûlantes de colère. Mais il se maîtrisait. Ses poings avaient beau être serrés, blanchissant ses phalanges, il ne tremblait pas et n’avait ni le besoin ni l’envie de se transformer.
Il ne voulait pas déchirer sa veste en cuir.
Le jeune homme, assis sur un rocher de La Push, observant les vagues qui s’écrasaient sous ses pieds, se sentait passablement énervé. Pourtant sa journée avait plutôt bien commencé. Il avait travaillé, comme d’habitude, au garage. Sa force lui avait permis d’aider son patron à retenir les étagères qui s’écroulaient. Il avait bu son café du matin, avait reçu sa paie, et pourtant! Les courts cheveux sur sa nuques se hérissaient de colère.
Sans doute qu’il en avait assez de travailler. Mais l’Université ne lui serait jamais ouverte. Avec les résultats minables qu’il obtenait avant de quitter l’école, il n’avait aucune chance.
Strictement aucune.
L’Irlandais se secoua et se leva, désirant plus que jamais la solitude. Le couple, près de lui, à quelques mètres en aval, le gênait. Il n’aimait pas la proximité. Associable! Oui, il l’était et assumait totalement. Remontant dans sa vieille 4L d’une désagréable couleur verte kaki, il tenta le démarrage. Elle vrombit, mais ne semblait pas décidée à rouler. Le silence revint sur la côte. Faolan fronça les sourcils. Il poussa un soupir et alla ouvrir le capot, bien décidé à mettre ses trois ans d’expérience dans le garage pour sauver sa voiture.
« Saleté de caisse… »
Il regarda la rouille sur toutes les pièces du moteur. Peut-être fallait-il enfin songer à changer de voiture. En attendant, il marcherait. Refermant le capot d’un geste vif et passablement énervé, le modificateur retourna à l’intérieur, et remplit son sac de ses affaires personnelles avant de dévaler les falaises à pied. Il atterrit sur le sable fin, qui emplit soudain ses chaussures, et marcha résolument vers la mer.
Il s’assit, et observa les vagues à nouveau. Tempête. Le lendemain, si l’on accordait à la météo de l’attention, il y aurait une tempête. De la pluie à n’en plus finir, de violentes bourrasques, une mer déchaînée. Un temps à l’image de la tornade qui agitait le cœur d’O’Connor. Il conclut avec un demi-sourire narquois:
« Saleté de vie, oui! »
présence en semaine; 7/7 et pour de bon cette fois
avez-vous lu les 4 livres ? ; Yep et même les âmes vagabondes
pourquoi ce personnage ? ; Parce que ! x)
le mot de la fin ? ;