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Test rp [ Marcus Volturi ] |
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Marcus Volturi
— localisation : « Aujourd'hui, je porte ces chaînes, et suis ici ! Demain, je serai libre ! – Mais où ? » Edgar Allan Poe
— humeur : Pas mieux qu'hier et moins bonne que demain.
— une citation ? : « Nous sommes faits de la même matière que les rêves. » William Shakespeare
— coté coeur ? : Souviens-toi de ce jour où tu es mort ; mort avec elle.
— un don ? : Perçoit les liens qui unissent les personnes entre elles.
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Sujet: Test rp [ Marcus Volturi ] Jeu 15 Juil - 2:22 |
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Je suppose que c'est mon tour... Je sais, pas très bonne première impression : vous vous dîtes « Ok, encore un boulet qui a oublié son * dans son pseudo. Un novice en la matière. Jeune padawan. » J'en suis désolé, chefs. Oui, j'ai pourtant bien lu le règlement avant de m'inscrire, mais ça m'est complètement sorti de la tête, et je m'en suis rendu compte uniquement lorsque j'ai activé mon compte. DÉSOLÉÉÉÉÉ. Sono disturbato orribilmente, signori! Perdono! J'recommencerai plus, c'est promis <~~ sale tête en l'air. Donc, pour me faire pardonner, j'ai l'heur de vous annoncer que je suis prêt à recevoir mon test Please ? (: Grazie!
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Renesmée C. Cullen
« je veux bien faire la belle mais pas dormir au bois »
— localisation : dans la fôret, partie de chasse avec jacob !
— humeur : ca ne pourrait pas aller mieux
— coté coeur ? : secret thing
— un don ? : je peux faire part de mes pensées, de mes souvenirs, en bref communiquer en un simple contact.
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Jeu 15 Juil - 3:29 |
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Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue et pas de problème pour l'étoile en fin de pseudo il est tard/tôt et j'avais prévu d'aller au lit donc c'est pas moi qui te donneras ton sujet pour le test, ou peut-être demain si Alice ne s'en charge pas avant (: En tout cas j'espère que tu te plairas parmi nous et je te souhaite bonne chance
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Alice Cullen
admin. can i change your future ? only if you decide it...
— localisation : Derrière toi, bouh !
— humeur : Excellente et amusée
— une citation ? : "Le seul secret que les gens gardent est celui de l'immortalité."
— coté coeur ? :
— un don ? : Je vois l'avenir de façon subjective, selon les décisions prises par le/la concerné(e).
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Jeu 15 Juil - 11:50 |
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Bienvenuuuuuuuuue ! Aucun soucis pour le pseudo, tu n'es pas le premier et sûrement pas le dernier ^^ C'est utile quand plusieurs personnes veulent le même poste, ce qui n'est pas notre cas ;) Voici donc le sujet de ton test : - Citation :
- La défaite des Volturi face aux Cullen n'affecte pas tellement Marcus, indifférent à toutes ces querelles sans issues. Ce jour-là cependant, il se laisse aller à la nostalgie en repensant à sa femme tant aimée, Dydime. Il se souvient des moments passés avec elle, de son amour si fort et pourtant si inutile face au pouvoir d'Aro. Perdu dans ses pensées, il ne prête pas garde, comme toujours, à l'entrée d'une des gardes féminines de la famille (à toi de voir laquelle) qui arrive dans le but de le séduire pour avoir sa place au sommet, comme bien d'autres avant elle. Seulement, elle n'arrive pas au bon moment, alors que sa "proie" repense à sa défunte épouse...
Tu dois faire 30 lignes sur ce thème, sans compter les dialogues. Tu as trois jours pour ce faire, nous avons trois jours pour te donner une réponse. Bonne chance, en espérant que tu te plaise parmi nous !
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Ven 16 Juil - 17:40 |
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Hello ! Merci à vous deux pour votre accueil si enthousiaste et... civilisé ! *croise les doigts* - Citation :
- C'est utile quand plusieurs personnes veulent le même poste, ce qui n'est pas notre cas ;)
Non, effectivement... C'est que Marcus n'est pas vraiment THE Personnage palpitant, le pauvre. En tout cas, merci à vous deux pour votre laxisme quant à mon pseudo... Et merci aussi pour le test. Je me dépêche de le faire (: Bonne fin d'après-midi.
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Ven 16 Juil - 18:02 |
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Merci à toi pour l'intérêt que tu portes au forum et à ce personnage important Civlisé ? MDR, on n'est pas des monstres (pas encore) x) Bonne chance !
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 13:18 |
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"Ce personnage important" ?? Marcus ?? O.O ................ Euuh... ouaiis, on va dire ça comme ça... Enfin, il faut dire, aussi, il fait qu'regarder le monde tourner --' Bref. J'ai fini mon test. Il est frais et dispo, prêt à être posté. Mais j'aurais deux questions avant de vous le rendre : 1) Mon test doit-il faire environ 30 lignes ou minimum 30 lignes ? 2) Peut-on considérer qu'Aro a tué Dydime il y a environ 3000 ans ? Merci d'avance (:
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 13:24 |
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Oui Marcus est important parce que Volturi, donc roi. C'est 30 lignes minimum, libre à toi d'en faire plus ;) Et oui, tout dépend de l'âge de Marcus que j'ai oublié >.< Aro a tué sa femme car ils projetaient de s'enfuir ensemble.
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 14:33 |
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Je vois... Alors, en admettant que Marcus ait un peu plus de 3000 ans, ce qui est indiqué sur sa fiche (donc le même âge qu'Aro, à quelques années après), qu'Aro a transformé Dydime quelques années plus tard après sa propre transformation, et que Dydime et Marcus tombent amoureux très peu de temps après la transformation de Dydime, on pourrait situer son "assassinat" à 3000 ans ? Parce que, tu comprends, j'ai absolument besoin d'une date précise ; un chiffre rond, si possible >.<
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 14:35 |
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Étant donné la précision de tes données, je peux dore que 3000 ans ça va très bien =)
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 14:45 |
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Cool (: Merci pour tes réponses ! Dernière question et j'arrête : Marcus, finalement, il sait ou pas que c'est Aro qui a tué son épouse ? Parce que j'ai plusieurs versions qui divergent, mais dans celle qui revient le plus souvent, Marcus ne sait toujours pas que c'est Aro son meurtrier... Mais ça me semble un peu étrange, qu'il ne sache toujours pas, après 3000 ans, non ? Surtout qu'apparemment, tout le monde le sait sauf lui...
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Carmen Denali
Admin - Sweet like a candy... ♥ But don't try to eat me !
— localisation : Just near my sweet family.
— humeur : ... Has always
— une citation ? : "L'esprit est vampire."
— coté coeur ? : En couple avec Eleazar ...
— un don ? : Aucun
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 14:54 |
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Bon alors tout d'abord BIenvenuuuuuuuuuuuuue !!!! (et oui la troisième qui se ramène toujours en retard ! x) Très franchement, je ne connais pas la réponse à ta question... Tu peux je penses choisir toi même ce qui te conviens le mieux, afin de t'approprier ton personnage. Ce n'est là que mon humble avis ! ^^ Et je ne sais pas si Alice le partage. ;)
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 14:57 |
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Pour ça c'est à roi de voir selon le Marcus que tu voudrais jouer. Cette décision influencera beaucoup sur tes intrigues futures... Ce que tu préfères ;)
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 15:31 |
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Tout d'abord, merciiiiiiiii de ton accueil, Madame troisième qui se ramène toujours en retard x) Ensuite, merci à vos deux pour vos avis. Je pense que je vais prendre la version moins commune, avec un Marcus au courant. Autrement, y a trop de trucs qui collent pas, dans son histoire, et cela pourrait aussi expliquer son désintérêt face aux... petits soucis d'Aro ; une sorte de pied-de-nez, nan ? C'est quelqu'un de vicieusement intelligent, Marcus, si je ne m'abuse, et je trouve qu'il a franchement l'air de profiter du fait qu'il a le sum pour se venger des Volturi >< Bref, j'arrête là, voici mon test. Enjoy ! - Citation :
« 3000. Quel chiffe propre et rond, comme tu l'exècres*. Il ne te rappelle rien, sinon de mauvais souvenirs que tu cherches depuis si longtemps à inhumer. 3000, pour toi, c'est le nombre du malheur, le chiffre du Diable. Tout ce qu'il y a de plus mauvais et d'indécent se rapporte à 3000, surtout le désespoir glacé, sépulcral, qui filtre des éclairages indirects*. Il y a 3000 ans, c'est le jour où tout a perdu de son éclat, où le soleil s'est éteint, où la vie t'as tourné le dos.
Le jour où tu es mort. »
La pièce est vide. Vide ? Pas tout à fait. Car tu es là, comme une erreur, un erratum, et tu ne devrais pas être là. Mais tout va bien. Car il y a une nuance entre les jours où tu étais là et maintenant, les jours où tu n'es plus qu'un ectoplasme. Tu es mort. Tu es mort voilà 3000 ans. Assis dans un fauteuil moelleux vide de ta présence, accoudé au rebord de la fenêtre qui brille comme une perle, menton appuyé contre ta paume, tu regardes le temps filer, t'échapper à une vitesse exubérante. Il te coule entre les doigts, glisse sur tes phalanges et goûte à ton menton comme la pluie, des perles de rosée dans les cheveux.
« J'ai peur, Marcus. Mon Dieu, j'ai peur de ce que tu es devenu. » Tu n'es plus rien. Tu as tout perdu. Elle n'est plus là, alors il n'y a plus rien, car elle était tout pour toi. Elle était la rosée du matin, la foudre et le ciel ; le vent, les mélodies qui berçaient le temps, les doigts doux et fins avec lesquels ont été cousus tes rêves. Elle était celle qui donnait un sens à ta vie, et à l'éternité. Elle était ta vie, et plus que ta moitié, tes trois quarts.
Elle était belle. Belle comment ? Tu ne te souviens pas, tu sais juste qu'elle était belle comme tout. Elle donnait son éclat à l'or. Même le soleil pâlissait, quand elle était là. Elle était ton astre – elle illuminait tes journées, elle illuminait ta vie. Elle donnait sa saveur à la moindre particule qui faisait ton bonheur. Et ton bonheur, que vaut-il si elle n'est pas là ? Il devient insipide – il ne veut plus rien dire. Il n'a plus d'intérêt, il n'existe plus. Parti. Disparu, envolé, haché avec elle. Et quand elle est morte, tu es mort avec elle.
Il y a une douleur ; tu lui en veux de t'avoir rendu heureux. Si elle n'avait pas existé, tu aurais été triste toute ta vie, et tu n'aurais pas senti la différence – jamais. Mais voilà, tu as eu la malchance, non pas d'être malheureux, mais de devenir malheureux. Parce qu'elle était un tout, et toi tu n'étais rien ; tu ne seras jamais rien que du rien. Vide. Comme la pièce. Parce qu'elle n'existe plus. Pourtant, tu sais qu'elle vit toujours. Elle vit à travers le temps, à travers tes larmes, dans tes mémoires ; elle vit en toi. Elle est présente dans ta tristesse, ta douleur, elle demeure dans tes rêves éveillés, ta léthargie éternelle. Elle est ton apathie-même, elle reste le signet qui marque le jour où tu es mort.
Un simulacre de sourire. Et tu continues de l'aimer sans équivoque. Tu l'as aimée, tu l'aimes et tu l'aimeras toujours tellement fort que ça te fait peur. Aujourd'hui plus qu'hier, demain plus qu'aujourd'hui. Tu l'aimes encore, car tu es persuadé qu'elle peut renaître des cendres de ce que vous avez vécu ensemble et qui est encore présent, bien vivant. Et qu'il y a-t-il de plus présent et de plus vivant que ton létal amour pour elle ? Elle était radieuse. Elle respirait l'éternel et le bonheur. Et puis, elle est morte, comme un papillon éphémère, tué dans sa chrysalide ; apocryphe. Tu n'hésites pas à dire qu'elle est morte, car c'est un fait, une vérité : elle est morte. Mais même la mort ne l'empêche pas de vivre. Car oui, elle était amoureuse de la vie ; elle l'aimait peut-être même autant que toi. À ce moment-là, peut-on dire que c'est parce que tu étais sa vie ?
Tu ne veux pas dire son nom. Tu ne veux pas oublier. Le jour où elle est morte, assassinée, tu n'as pas voulu fermer les paupières. Tu voulais que le souvenir s'incruste par la cornée de tes yeux érubescents, s'imprime sur ta peau, se grave à jamais dans l'os, à la ceinture scapulaire, souvenir qu'on pourra voir une fois ton enveloppe charnelle morte ; morte et enterrée. Mais voilà, tu es déjà mort. Elle t'a tué. Et elle n'a pas eu le temps de t'enterrer.
Toi, tu aurais voulu qu'elle te prenne par la main, et mourir avec elle, car l'éternité c'est long, surtout à la fin*, surtout sans elle. Et cette éternité, tu la lui voues, comme tu le lui as promis.
« Riposate in pace pinseremu sempre a voi. » Elle te manque tellement... À quel point aimerais-tu le lui dire ? Il n'y a pas assez de soleil pour elle, aujourd'hui. Tu la regrettes, comme on regrette une personne disparue. En la voyant sourire la première fois, tu t'es dit que seul Dieu pouvait être le divin géniteur d'une telle perfection. Malheureusement, Dieu reprend toujours ce qui lui appartient.
Tu n'as pas oublié ces moments où tu criais la joie étale qui inondait ton cœur*, quand tu ne savais pas ce que c'était, que tu ne connaissais rien. Elle t'a tout appris. L'indulgence, l'amour ; le bonheur et l'extase – la beauté. Elle t'a appris à vivre. Elle avait cette capacité à embellir la chose la plus laide du monde ; puis elle quittait la pièce, et la lumière qui l'incendiait s'évaporait avec elle.
Aujourd'hui, la pièce est vide, froide. Noire. Triste. Tu es claustré dans un clair-obscur inexistant, celui de tes pensées. Tu ne vois plus rien, tu es aveugle ; mort. Tu te rappelles alors quand elle était encore là, dans un coin de la pièce, et qu'elle te regardait avec ses yeux si tendres et remplis d'un amour que tu ne pensais ne pas mériter. À ton tour, tu la regardais ainsi, la surprenant, et elle rougissant et baissait précipitamment les yeux, un sourire rêveur aux lèvres. Comment aurais-tu pu penser un seul instant qu'elle disparaitrait un jour ? Elle jouait avec le bonheur comme un enfant avec un hochet, et elle ne réalisait pas combien c'était rare et précieux ce qu'elle tenait entre ses mains*. Elle donnait un sens à chaque chose que tu faisais.
Tu l'as tant aimée...
Tu l'aimes toujours, bien sûr, mais tu aimes un ectoplasme. Un vide. Un souvenir. Tu adules une entité disparue depuis 3000 ans déjà. Tu devras t'y faire : elle appartient au passé. Elle en est l'esclave ; c'est sa prison dorée. Et elle y pleure, Ondine figée dans le plomb de son cercueil*. Et toi, tu commences à l'oublier, petit à petit, tu ne fais que ça de tes journées – tu n'as plus que ça à faire. Pourtant, tu sais que tu aurais dû déchirer la page au lieu de la tourner. Tu fermes les yeux. Tu aimerais mourir. Inlassablement, inéluctablement. Comme un papillon, tu cherches des souffles, même légers – des libellules.
« Dydime. » Tu murmures son nom, dans le silence de ta tête, dans la solitude de tes pensées, cet espace clos dont toi seul peux être le prisonnier. Il sonne, si mélodieux, se répercute en écho contre les parois de ton crâne brulant de souvenirs. Tu la regrettes. Et tu te rappelles, car tu ne sais qu'une prière, et tu aimerais la formuler. Mais tu n'oses pas. Rien ne franchit plus tes lèvres adoucies par le silence.
Elle t'avait proposé de partir. Tu aurais bien voulu, oui, car elle était le seul amour qui aurait su te guider, pour faire enfin d'elle la femme que tu attendais, celle qui révélerait cet homme qui vivait si fort en toi*. Mais voilà, il y avait Aro, celui qu'elle osait appeler son frère. De loin, dans la pièce dévastée, son ombre plane encore, et son parfum, consistance de raki, te tourmente, terrifiant. Son souvenir douloureux te revient, lasse maladie latente – son sourire s’efface ; la douleur est là.
De bien loin, elle t'appelle.
Toi qui la croyais si forte, tu regrettes de l’avoir embarquée dans cette histoire sans début ni fade fin. Tu la pries de te revenir. Tu te souviens qu'il arrivait, doucement, lentement, inéluctablement ; qu'elle avait tellement peur de lui. Tu entends encore ses pas létaux, et le plancher craque, fantôme du passé. Elle te disait que rien ne lui semblait aussi courageux que toi pour l’éloigner d'elle, et son sang coule des souvenirs sur le sol ; sa silhouette, devant toi, bras écartés, effrayée, effrayante. Tu soupires en pensant que même si elle était dans ce triste état, au moins, elle était encore là. Tu revois son silence, ses cheveux roux et sa peau transpirant sous la peur de mourir, se faire occire ; devoir te quitter.
Las ! son holocauste n'aura servi à rien, sinon à ne faire qu'accélérer l'heure fatidique. Tu te souviens qu'elle avait besoin de toi, et qu'elle te priait de le chasser loin. Jamais ses larmes, à cet instant, n'ont semblé si touchantes, et le sang si abondant. Aro, alors, n'existait que pour la tuer. Lui qui a tant adoré sa sœur... Ses menaces tintaient comme un de profundis – c'est un mal. La mort qu'il lui promettait se reflétait dans ses douces prunelles zinzolin. Yeux clos, tu entends sa voix de carillon – si belle ! Elle t'appelle inlassablement, comme si ton nom servait à combler ton absence. Comme tu regrettes de n'avoir été là qu'à la fin, au coup fatal ; de n'avoir rien pu faire. Car plus Aro s'approchait, plus elle avait l'impression que tu t'éloignais. Tu as été si impuissant. Peut-être qu'elle t'en veut encore ? Tu ne sais pas, tu ne sauras jamais. Elle n'est plus là pour te le dire.
Elle voulait quitter Volterra, et partir avec toi. Si seulement elle était partie seule sans t'en parler, peut-être qu'Aro n'aurait rien entendu, et qu'il n'aurait rien fait pour la retenir. Rappelle-toi : elle était si peu importante, pour lui... Il jugeait que posséder le don de rendre les gens heureux était inutile. C'était toi qui l'intéressait ; c'était toi qu'il voulait garder.
De là où elle est, elle t'envoie l'écho de ce qui fut votre bonheur mitoyen. Elle qui venait se coucher, là, sur ta foi pour te posséder* : était-elle un ange ou rien qu'une utopie éphémère ? Sûrement les deux. L'éclat de sa chevelure acajou brille encore dans tes souvenirs. Son parfum de soleil. Tu te souviens qu'elle aimait l'océan ; c'était son rêve. Nostalgie pélagique.
Tu es là, tu t'y perds. Tout n'est plus que chaos dans ta tête : tes pensées tournent et se mêlent dans un grand cocktail ayant pris une teint vermillon, comme un maelström d'incohérences. C'est à peine si tu réalises que soudain, on ouvre la porte. Tu ne te retournes pas, tu ne cherches pas à découvrir qui c'est, tu ne veux même pas savoir : le nouvel arrivant t'ennuie déjà. Tu es seul avec tes regrets, et ce vide immuable, constant. Et tu espères doucement, secrètement, que c'est elle. Si c'est elle, tu ne te lèveras pas pour l'accueillir ; tu lui diras seulement « C'était bien long, n'est-ce pas ? ». Puis tu lui chuchoteras à l'oreille, comme tu avais l'habitude de le faire : « Parla più piano, e nessuno sentira*. » Alors elle t'obéira, et vous sombrerez tous les deux, main dans la main, comme deux amants aux glorioles, comme si elle n'était jamais partie.
Tu tends les doigts jusqu'à les briser, comme fissiles, vers ce caprice, ce prurit étendus, loin, si loin, comme l'horizon de la mer qu'elle chérissait tant. Tu caresses l'étoffe de ce rêve du plat de la main, et tu souviens comme tu l'aimais d'un amour impossible, irréel. Tu y croyais tellement fort ; elle te rendait invincible et immortel. Comme elle t'élevait vers ce qu'il y a de plus intouchable. – Marcus. Tu fermes les yeux. Des pas se déplacent sur le tapis, légers, éthérés, farouches. Les siens, peut-être. Non ? Des doigts furtifs effleurent la courbe de ton cou si bien fait. Tu ne réagis pas, non. Souviens-toi de ce jour où tu es mort. Se si perde un amore. – Marcus, tu m'écoutes ? Tu reconnais ma voix ? Retourne-toi, s'il te plaît. Tu fais ce qu'elle te dit. Tu la regardes dans les yeux. Son souffle fruité vient caresser ta joue. Elle est si proche... – Qu'est-ce que tu veux, Chelsea ? L'agressivité de ta voix te surprend toi-même. Tu as l'impression de ne pas l'avoir utilisée depuis 3000 ans, depuis que tu es mort. La patine se soulève doucement. Chelsea fronce les sourcils. Tu l'as surprise. – Rien, juste être avec toi, répond-elle comme si elle avait anticipé ta réaction. Tu aurais dit oui. Tu aurais dit oui si son timbre avait été semblable au sien. Or, il ne l'est pas. – Je n'aime pas ta voix, Chelsea, chuchotes-tu, amer. – Je viens te sortir de ta mélancolie, proteste-t-elle, tu devrais être un peu plus reconnaissant et moins acariâtre. Vieux vampire. Tu fais la moue. Elle t'exaspère. Si seulement elle lui ressemblait un peu plus... – Mais moi je ne t'ai rien demandé, répliques-tu, neutre. Gamine. Puisqu'elle veut jouer à ça... – T'es frappé, Marcus, gronde-t-elle, furieuse. J'comprends maintenant pourquoi personne ne t'approche. Tu ricanes et te retournes. Tu ne supportes plus ses grands airs pédants, ni ses longs cils battant incessamment ses pommettes. – Je t'ai dit que j'étais venue te tenir compagnie, Marcus. Ça ne te plaît donc pas ? Elle a repris une voix douce, mielleuse et caressante. Tu te trompes ou elle est tellement gauche que tu réalises qu'elle te fait du charme ?
Un sourire passe telle une ombre sur ton si beau visage. La situation commence à t'amuser. Tu ne crois pas à ce qu'elle dit. Lorsque les membres de la garde féminine viennent te voir, ce sont les plus belles, et elles cherchent à accéder au trône déchu que possédait Dydime en étant ton épouse. Ces privilèges inaccessibles autrement. C'est la seule raison pour laquelle une femme t'approche. Elles tournent autour de Caïus et Aro, pas de toi. C'est impensable. Pourtant, tu es le plus beau et le plus calme des trois, mais c'est comme ça ; c'est ainsi, tu n'attires pas, car tu as perdu cette part d'agressivité qui te caractérisait jadis et faisait de toi un vampire, car tu es seul, et livré à la viduité.
Viduité... Tu n'aimes pas ce mot. Il te rappelle que ta raison de vivre n'est plus. – Non, murmures-tu. Qu'est-ce que tu veux réellement, Chelsea ? – Je te l'ai dit ! Elle s'énerve. Tu la provoques. – C'est Aro qui t'envoie ? Caïus ? Qui ? Ils veulent que je me joigne à ce qu'ils manigancent chacun dans leur coin ? ces inepties qui n'aboutissent nulle part ? ces problèmes qu'ils se créent eux-mêmes par pur ennui ? Elle souffle. Évidemment. Elle ne t'a jamais entendu parler autant depuis 3000 ans qu'elle a rejoint les Volturi. Elle est habituée à tes longs silences, tes ébauches de phrases, tes inepties, tes non-dits et tes murmures ; tes monosyllabes, surtout. Mais que tu fasses de si longues phrases... Que tu dises quoi que ce soit qui ait un sens, surtout. Un début et une fin. On dirait presque qu'elle existe, pour toi, qu'elle est enfin réelle. On dirait presque que tu la vois elle-même, comme elle est. Pas comme d'habitude, où tu voles le visage de ta bien-aimée pour le lui attribuer. – Dydime ne reviendra pas, Marcus. Elle a dit cela simplement, sans émotion, d'une traite. Elle veut aller droit au but. – Je sais qu'elle ne reviendra pas. Je suis plus qu'au courant. Cela fait 3000 ans que je l'attends. – Mais elle ne vient pas. – Non, évidemment. Ta voix se brise sur la dernière syllabe comme une vague contre les rochers. Chalsea l'a perçu. Elle vient de toucher une corde sensible parce qu'elle sait où sont tes faiblesses. Je peux faire en sorte que tu l'oublies, Marcus. Elle s'est agenouillée près de toi et te susurre ses horreurs à l'oreille. Tu pourrais presque y croire. – Je sais... comment faire pour que tu ne ressentes plus rien pour elle, et te libérer de tes souffrances inutiles. Tu aimerais te lever et la gifler, mais tu ne le fais pas. Tu es las ; las et mort. – Pour cela il suffirait que tu... m'épouses ? Tu fermes les yeux. Droit au but. Que tu es las. Tu souris ironiquement. – Va-t'en, Chelsea. Va répandre ton fiel ailleurs. Je suis déjà marié. – À une morte ? ricane-t-elle. À ce qu'il reste d'un macchabée exsangue immolant l'abandon ? Ton épouse pourrit dans sa tombe, mon pauvre. – Tais-toi. Tu brûles dans ta propre colère. – Allons, Marcus. Ne suis-je pas plus belle que ta Dydime ? N'ai-je pas plus de ressources et d'ambitions qu'elle ? Je ne suis pas si capricieuse. Et je suis vivante, moi. Tu rouvres les yeux et la regardes. Oui, elle est plus belle que Dydime. Mais Dydime était magnifique en tout. Et c'est là, toute la nuance. Tu songes, pourtant, que si elle avait ressemblé un peu plus à ton défunt amour, peut-être que tu l'aurais prise, oui, là, tout de suite, sur le tapis brûlant sous les rayons du soleil crépusculaire. L'idée te fait sourire. Pourquoi fallût-il que Dydime soit si différente ? Tu sais que Chelsea est en train de jouer, à ce moment-même, avec les liens qui te retiennent encore à feue ton épouse. Tu sens que tu l'oublies doucement. Son image s'efface peu à peu. Chelsea tire sur les ficelles de ton amour, puis tranche celles qu'elle juge mauvaises. Tu n'as pas oublié qu'elle a fait la même chose pour te maintenir entravé aux Volturi, après la mort de Dydime.
Ce pourquoi tu la méprises tant. – Nous pourrions faire de grandes choses, tous les deux, Marcus. Nous aurions la reconnaissance éternelle d'Aro. Toi tu perçois les liens qui unissent les personnes entre elles, et moi, je les contrôle. Tu vois, nous sommes liés... comme si nous étions faits l'un pour l'autre. Quelle prétention. Tes sourcils oscillent dangereusement, tremblent de colère. Tu hésites entre étrangler sa jolie gorge blanche et lui rire au nez. – Tu parles trop, imprudente. Va-t'en. Elle semble vexée. – Mais Marcus... Ses ongles longs, griffant comme des serres, courent sur ta cuisse, exécrables. Tu serres les mâchoires. – … tu sais bien que je t'aime. Un grondement sourd s'échappe de ta gorge. Que veut-elle ? Qu'insinue-t-elle ? Tu lui demandes de partir, elle réitère qu'elle t'aime, elle te dit de longs verbiages sans queue ni tête, minables, sans équivoque, des choses que seule Dydime avait le droit de prononcer. Cette insignifiante sait-elle seulement que ces choses dites n'ont aucun sens, si elles ne viennent pas de ton aimée ?
Et soudain, tu regrettes. Tu regrettes que ton amour pour ton épouse n'ait pas réussi à la protéger des mains avides et implacables d'Aro, de ses sépulcres blanchis et vrilles d'indécence, de penchants irascibles.
Tu te calmes. Chelsea continue de te parler. Les déclarations pleuvent comme la grêle. Comme tu es las. Mais elles ne t'atteignent pas. Rien ne t'atteint plus. Ses propos pour te convaincre te traversent comme si tu n'étais rien, ou pas grand-chose. Immatériel. Un ectoplasme. Néant. Tu as déjà oublié sa présence. Elle n'existe déjà plus, à tes yeux. Elle est de nouveau ce mouton qui ne vit que pour le pouvoir. Tu es à présent de nouveau seul avec ton regretté amour. Ses verbiages glissent sur ton corps sans te toucher, comme le bonheur. Ses vociférations te parviennent comme des bourdonnements, de loin, si loin... Tu n'es plus. Souviens-tu de ce jour où tu es mort ; tu es mort avec Dydime. Et soudain, Chelsea se calme. Elle se tait. Enfin. Elle a compris que tes yeux brillaient avec les fantômes de ton passé.
Tes oreilles résonnent encore des appels désespérés de ton défunt amour, qui répète encore et encore, inlassablement ton prénom. Marcus... Ses accents sifflent comme des serpents. Tout t'afflige et te nuit et conspire à te nuire*. Tu ne veux plus rien, sinon elle. Tout t'ennuie, derechef, comme avant. Chelsea, la mort dans l'âme, repart, emportant avec elle des débris d'envie et de colère flottant encore dans l'air. Elle part en te traitant des pires noms, en répétant que tu ne sais pas ce que tu perds, que ton amour pourrit dans son triste cénotaphe. Elle te dit des choses qui auraient pu te faire mal si tu n'étais pas aussi mort. Toi aussi, tu pourris dans le plomb de ta mélancolie. La porte semble se briser lorsque Chelsea la ferme derrière elle avec toute la force dont elle est capable. Et d'un coup, tout est calme. Tout est beau ; bien. Blanc.
Tu revois son sourire, l'éclat de sa joie éternelle, et elle te répète « A te per sempre, il mio amore », comme un disque dont tu ne te lasserais pas. Tu réalises que même sans user de son don, elle savait te rendre heureux.
Seul dans la pièce. Assis dans un fauteuil, accoudé au rebord de la fenêtre, menton contre paume. Tu fermes les yeux, et à cet instant, tu cesses de croire en Dieu.
Dernière édition par Marcus Volturi le Lun 19 Juil - 22:28, édité 2 fois
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Carmen Denali
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 15:58 |
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Rien d'autre à dire... Pour moi il est évident que tu es accepté ! ;) J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ton test. Je l'ai trouvé extrêmement émouvant. J'admire la façon dont tu es parvenu à t'approprier un personnage qui me paraît aussi complexe (psychologiquement) que Marcus. J'attends tout de même l'avis de Nessie et Alice. En tout cas bravo ! Et t'as vu je suis passée madame première !!! *out
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 16:11 |
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Eh bien... Je ne sais que te dire... Merci 267 498 104 fois pour ton enthousiasme et tes compliments. MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI MERCI ! Ça me touche énormément, ce que tu dis là, tu ne peux pas imaginer ! (Comment ? Nan, je suis pas en train de rougir ; il fait 30° chez moi, c'est tout.) Je ne m'attendais pas à ce que mon test te plaise autant, à dire vrai ^^" Bien, donc, j'attends l'avis de Nessie et Alice avec impatience (: Et merci encore, Madame passée première ^^
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 16:17 |
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Ton test est magnifique. Je ne peux rien dire d'autre. J'en suis encore sous le charme. Accepté bien sûr ! OMG, tu écris tellement bien *s'incline, se prosterne devant son dieu Tu peux passer à ta fiche Monseigneur ! Hormis quelque incohérences par rapport à l'univers de Stephenie Meyer (les vampires ne suent ni ne rougissent), tout est parfait !
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 16:27 |
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Haha ! Ravi de t'avoir séduite ! Merci infiniment pour tes compliments ; tu flattes ma vanité, là (Pas bien, j'ai dit que je devais être modeste ><) - Citation :
- Hormis quelque incohérences par rapport à l'univers de Stephenie Meyer (les vampires ne suent ni ne rougissent), tout est parfait !
................ Aaah oui, Mea culpa, signora u.u *vient de comprendre* <~~ 2 de tension. xD Désolé, c'est la vieillisse qui fait ça. Bon, je retiens que cette excuse ne marche plus depuis 3000 ans --' Bref, j'attaque ma fiche ! Merci encore à vous deux, admins chéries
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Carmen Denali
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 16:55 |
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Bon et bien félicitations encore une fois ! Je viens d'avoir Lilice au téléphone et nous avons l'une comme l'autre versé une larme en te lisant. T'as pas honte de faire peurer les Admins ! ^^ Ce qui est (pour ma part en tout cas) assez rare sur un rp. J'attends ta fiche avec impatience ! ;)
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Renesmée C. Cullen
« je veux bien faire la belle mais pas dormir au bois »
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 17:26 |
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Désolée pour le retard, surtout que maintenant il n'y a plus rien à ajouter, ton test est magnifique, félicitations !
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 17:36 |
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Merci à vous deux ; je suis vraiment ravi que mon test vous ait plu ! Carmen ; Non, je n'ai absolument pas honte de faire pleurer les Admins, ça me rend d'ailleurs follement satisfait ^^ Alors comme ça, vous avez versé une larme toutes les deux ? Vraiment ? Mwahaha quel génie je fais Eh bien écoute, ça me fait plaisir d'avoir réussi à vous toucher Eeet j'arrête de flooder, je dois bosser ma fiche --' Quel enthousiasme.Merci encore à vous toutes pour vos compliments, et surtout, pour avoir pris le temps de lire mon test ^^ Arrivederci, signori ♫
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 17:46 |
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Espèce de sadique nan mais oh ! J'ai versé une larme, donc tu peux être fier, ça ne m'arrive pas souvent Mais on fait pas pleurer les Admins toutes puissantes
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Marcus Volturi
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 18:40 |
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Moi, sadique ? C'est le côté Volturi qui reprend le dessus. Oooh mais ne t'en fais pas, je suis plus que fier d'avoir réussi à te faire verser une larme. ^^ *bombe le torse* Mais ne t'inquiète pas, j'aurai sans doute d'autres occasions de te faire pleurer Admin toute puissante.
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Alice Cullen
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] Dim 18 Juil - 19:08 |
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Je succombe *aller chercher les pompiers, les Cannes sont ouvertes
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Sujet: Re: Test rp [ Marcus Volturi ] |
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Test rp [ Marcus Volturi ] |
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